À PROPOS

Huile de macération

POURQUOI
LES SENTIERS SAUVAGES ?

Toute notre philosophie et nos valeurs reposent
sur une éthique très forte par respect pour la nature et pour les hommes.
Cheminer, avancer, flâner au détour des chemins
de traverse, (ré)apprendre à regarder la nature, s’en amuser, s’en inspirer et créer de nouvelles perspectives,
pour retrouver quelques instincts sauvages… 

Les plantes sont utilisées depuis fort longtemps pour soigner l’homme.
Les bienfaits de la médecine moderne sont indiscutables et complémentaires du soin que peuvent nous apporter les plantes au quotidien.
Les plantes nous soutiennent pour prévenir, pour accompagner
les problèmes chroniques, pour aider à la convalescence,
pour mieux être tout simplement.

En Chartreuse, le lien entre les plantes et l’homme a longtemps été très prégnant et présente toujours des traces sensibles. Nombreux sont les habitants qui vous parleront de leurs cueillettes de violette et de coucou au printemps quand ils étaient enfants, qui partent récolter la fameuse « vulnéraire », ou qui vous diront que leur 1er travail a été pour la Coopérative de plantes des Entremonts, sans parler de la célèbre boisson aux plantes portant le nom du Massif. S’il y a eu une perte dans la transmission du savoir et des pratiques, l’intérêt est bel et bien présent, et les plantes, elles, toujours aussi  belles et riches.

La gamme des Sentiers sauvages a été construite avec les plantes locales présentes naturellement dans le milieu naturel et dans la tradition des usages du territoire. D’autres plantes adaptées au terrain sont cultivées en petite quantité et sans intrants.

Parce que chez les Sentiers sauvages nous sommes persuadés que les plantes qui poussent à leur guise et là où elles sont le mieux nous apportent un maximum de bienfaits.
Parce qu’elles ne luttent pas pour pousser.
Parce que l’action humaine consiste plus à les observer, vous bénéficiez d’un optimum en termes de propriétés et de qualité.

Cueillette d'ail des ours

Les cueillettes se font à la main
au moment de la journée le plus adapté
selon les plantes,

En respectant le développement de chacune et en ne sélectionnant que les parties utiles.
Après cueillette, les plantes sont soit mises à sécher pour les tisanes, soit mises à macérer  dans l’huile ou l’alcool pour les autres préparations. Cueillir au bon moment des plantes épanouies, fraîches et pleines d’éclat est une exigence constante chez les Sentiers sauvages.

 

Dans la lignée de cette exigence de qualité,
les Sentiers sauvages sélectionnent
chez des producteurs locaux
les matières premières utiles.

Les huiles végétales sont exclusivement sélectionnées chez des producteurs dans la région et de qualité biologique, tout comme les quelques huiles essentielles que vous pouvez retrouver dans certains baumes.
Les produits de la ruche sont issus des merveilleux Ruchers de Chartreuse présents sur la même ferme.
Ainsi la gamme est 100% française et même 100% locale.
Parce qu’il n’y a pas besoin d’aller chercher des huiles végétales de l’autre bout de la terre ou des huiles essentielles détruisant les ressources naturelles et exploitant les hommes. Parce que tout est là, autour de nous et puissamment inspirant et efficace.

Les ruches

Pour vous permettre d’accéder
en toute sérénité et facilement à ces plantes,
les Sentiers sauvages vous proposent
des produits transformés prêts à être utilisés.

Un ensemble de gammes thématiques vous permet de trouver aisément les produits qui vous correspondent. Les produits dits cosmétiques ont fait l’objet d’une étude toxicologique et sont validés par des toxicologues. Les compléments alimentaires sont déclarés et autorisés par les autorités françaises. L’ensemble des produits est confectionné dans un laboratoire respectant les normes européennes et déclaré.

De la transmission
à la CRÉATION
D’UNE gamme d’herboristerie…

Au démarrage en 2015, les Sentiers sauvages c’est avant tout une histoire de transmission.
A travers des ateliers avec des personnes de tous âges et de tous milieux, au sein d’écoles, de MJC, de maison de retraite, de centres sociaux, de festivals, dans la nature…

Les Sentiers sauvages réalisent des actions d’éducation populaire pour le partage et la transmission de savoir-faire liés au monde végétal et à la meilleure connaissance
de notre environnement en général. 

Au fur et à mesure des années, un public régulier créé un lien avec les plantes et souhaite passer le cap de prendre soin de soi avec des produits d’herboristerie.
Les Sentiers sauvages sont alors toujours prêts à donner des bonnes adresses, des références utiles ou encore à mettre la main à la pâte pour préparer des petites potions sur mesure. De fil en aiguille, des thématiques d’intérêt ressortent, des produits sont particulièrement appréciés…
Dans un souci de transparence et de facilité d’utilisation, les Sentiers sauvages formalisent alors une gamme d’herboristerie avec 8 sous gammes thématiques,
des produits testés et approuvés, déclarés,
des étiquettes claires, un usage clair et lisible pour tous.

Et parce qu’on ne renie pas ses premiers amours, et que l’on adore vous rencontrer, les formations sont toujours aujourd’hui une part importante de l’activité des Sentiers sauvages.

MON PARCOURS

Derrière les Sentiers sauvages, Floriane, fondatrice et porteuse du projet. Plusieurs personnes ont également été ou sont encore d’un formidable soutien dans cette aventure.

Écologue de formation, coordinatrice de projets en environnement et impliquée dans l’Éducation à l’environnement, mon profil mêle herboristerie, écologie, gestion de projet et sciences humaines.

D’abord  des études : un bac S spécialité écologie, un BTSA Gestion et Protection de la Nature qui m’amène à étudier des singes au Bénin, une licence Pro qui me fait courir le Salvador pour aider à la construction d’un réseau d’aires protégées, et un master qui me permet de travailler à la fois avec le Parc National des Cévennes et le CEFE (Centre d’Ecologie Fonctionnelle et Evolutive) sur une étude ethnobotanique des abeilles.

Ensuite des emplois dans l’environnement : plusieurs années à la CIPRA (Commission Internationale de Protection des Alpes) à gérer à la fois des projets transalpins sur la jeunesse ou le climat et à animer un réseau d’élus engagés en faveur du développement durable dans les Alpes, et puis aussi une expérience au sein des Communes forestières dans l’animation d’un réseau alpin de la forêt de montagne.

En parallèle, l’éclosion : une formation de 3 ans à l’Ecole Lyonnaise des Plantes Médicinales, la création des Sentiers sauvages en 2015, et last but not least dans un parcours empreint d’humain… 2 bambins !